Prologue
Paquerette rêvait dans son lit. Elle voyait son maître qui lui faisait des calins. Mais elle fut beaucoup plus troubler lorsqu'elle entendit des voix lui disant:
-Paquerette! Viens nous aidez! L'hiver est en danger! Seul le printemps pourrais l'aider. Mais tu dois t'y rendre. Paquerette!
-Mais... comment!
Mais les voix avaient disparues. En revanche, une autre lui criait:
-Et oh! Paquerette! Paquerette!
-Hien, que voulez-vous encore?
-Tu vas bien? Tu es sur que tu ne veux pas aller chez le coupeur?
-Quoi! Non mais, jamais de la vie! Qu'est-ce que tu racontes? Ah, c'est toi Hirondelle! J'ai eu peur.
-Froussarde, tu criais "Mais comment!" on arrivait plus à s'entendre avec Alouette. T'as perdut la tête?
-Non...j'ai réver...que des voix me criais "Sauve l'hiver!".
-Ah ouais, parce que l'hiver va se sauver? se moqua la chatte noire et blanche.
-Arrête de l'embêter, un rêve c'est un rêve, lui répond Alouette, ce n'est pas grave, mais allons voir si Feu a des histoires à nous raconter.
-D'accord, j'arrive.
Elle se leva, s'étira et alla se ranger près de ses deux soeurs. Elles allèrent manger leur croquettes et sortirent dans le jardins. Là, elles virent un assemblement de chats. A priori, certain avait eu la même idée. Au centre, un vieux matou roux était allongé. Il racontait une histoire de chats sauvages.
-Zut...Bylli est là aussi, dit Alouette qui détsetait le querelle, Paquerette, tu n'iras pas t'y frotter cette fois?
-C'est bon, j'ai plus 2 mois. Tiens, y a aussi Praline.
-Caline! rectifia Hirondelle.
-Oui...oui, Caline.
-Bonjour les filles, installez-vous et écouter.
Mais Paquerette n'écoutait plus. Elle rêvait de chats qui vivaient tranquils, sans ennuies. Alors qu'elle s'avançait doucement, elle entendit Bylli ricaner:
-Tiens, y a la mauviette qui a peur de l'histoire. Ch'ui sur qu'elle réussirait même pas à attraper une proie.
-En tout cas, elle y arriverais mieux que toi! lui répondit méchament Hirondelle.
-Je t'ai pas miaulé.
-Et bien moi, je paris que j'y arriverais! répondit Paquerette
-Bien sur, dans milles ans.
-On parit?
-On paris!
Elle s'en alla donc dans la forêt. En ratant une proie, elle entendit:
-T'es pas très forte en chasse.
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